Depuis plus de trois décennies, Jean-Marc Brunet s’inspire de la nature qui nous entoure.
Autodidacte, il se forme dans les ateliers des grands peintres tels que Ousseynou Saar au Sénégal, Jean Rustin ou Albert Bitran en France et Oswaldo Vigas au Venezuela. La thématique du « dépaysage« , selon le terme créé par le critique d’art Jean Clarence Lambert, est au cœur de son œuvre.
« Une assimilation sensible de la nature, une intention par laquelle le peintre fait naître des paysages intérieurs : retrouver le paysage derrière l’atmosphère comme aperpeception donnant à voir la nature brute avant même que la pensée ne l’ait organisée. Comme disait Merleau Ponty à propos de Cézanne « le peintre n’a pas cru devoir choisir entre la pensée et la sensation, comme entre le chaos et l’ordre». Cherchant toujours, en parallèle, l’élargissement du regard, le dialogue permanent avec les poètes, les voyages en Afrique de l’ouest et au Maghreb sont autant de pistes explorées par le peintre pour « aller au-delà du trait ». » (Galerie Neilag)
JEAN-MARC BRUNET
PAR ROULLÉE ALICE
Source
https://www.art-miss.org/chronique/jean-marc-brunet