ArteMiss une association, des femmes… et l’art

ArteMiss une association, des femmes… et l’art

Depuis plus de trois décennies, Jean-Marc Brunet s’inspire de la nature qui nous entoure.
Autodidacte, il se forme dans les ateliers des grands peintres tels que Ousseynou Saar au Sénégal, Jean Rustin ou Albert Bitran en France et Oswaldo Vigas au Venezuela. La thématique du « dépaysage« , selon le terme créé par le critique d’art Jean Clarence Lambert, est au cœur de son œuvre.

« Une assimilation sensible de la nature, une intention par laquelle le peintre fait naître des paysages intérieurs : retrouver le paysage derrière l’atmosphère comme aperpeception donnant à voir la nature brute avant même que la pensée ne l’ait organisée. Comme disait Merleau Ponty à propos de Cézanne « le peintre n’a pas cru devoir choisir entre la pensée et la sensation, comme entre le chaos et l’ordre». Cherchant toujours, en parallèle, l’élargissement du regard, le dialogue permanent avec les poètes, les voyages en Afrique de l’ouest et au Maghreb sont autant de pistes explorées par le peintre pour « aller au-delà du trait ». » (Galerie Neilag)

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JEAN-MARC BRUNET
PAR ROULLÉE ALICE

Source
https://www.art-miss.org/chronique/jean-marc-brunet

Forbes

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Féru de photographiedepuis sonplus jeune âge, lʼantiquaire Hannibal Renberg,44ans,atoujours étéattiré parlʼinattendu etlʼabsurde. Cʼest encore ce qui lʼinspire quand
il se balade dans les rues de Paris. « On y croise une foule de personnes déca- lées, hors normes. Un contraste avec un univers où la pub est omniprésente», explique-t-il.
Cet œil singulier a déjà séduit 31700 fans et le magazine américain « Forbes», qui lʼa nommé parmi les quatre instagrameurs de rue à suivre.

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